Dans ce cas je ne vais pas te faire attendre,
En moyenne j'ai adoré mes maternelles de ce que je me souvienne j'étais déjà après les filles. Et oui, si ça choque certains parce que ça fait prétentieux, je m'en fous, je m'exprime. Donc en gros tout s'est bien passé.
Mes primaires se sont déroulées plus tôt différemment. Je n'ai jamais redoublé une année mais j'avais en parallèle des cours en académie privée ( Musique - Piano ) et très jeune j'ai fais un casting qui m'a ouvert beaucoup d'autres portes par après et m'a permis de voyager un peu et de faire quelques très belles salles de concert Belges. Donc mon parcours a été un peu différent des autres. Malgré que j'arrivais à suivre en cours parce que j'ai toujours été quelqu'un qui comprend extrêmement vite et qui retient un peu près bien ce qu'il li. Donc les jours où je ratais l'école pour aller en représentation, j'avais toujours une remise en ordre à faire, c'était pénible mais il le fallait.
Mes secondaires ont été particulièrement délicates, en vieillissant j'ai préféré me concentrer sur mes études et j'ai un peu laissé de côté ce que je regrette tellement aujourd'hui. Qui sait où je serais si j'avais suivis ce chemin. A moitié parcours, je rencontre les premières histoires d'amour de ma vie et la décadence s'installe. Je redouble ma 4ème ce qui équivaut chez vous à ? ( Je ne sais pas ) nous ça va de la 1ère à la 6 ème secondaire. Et je passe donc de Sciences - Maths - Langues fortes à du technique de transition. Ce qui équivaut au général mais un peu moins poussé et qui me permettait d'aller au conservatoire en même temps pour apprendre l'art dramatique, l'expression corporelle, la déclamation et la diction. ( Tout ce qui est scénique ) Après cette année là, je me suis mit à avoir beaucoup de soucis avec mes histoires sentimentales et j'ai je pense quelque chose qui s'est brisé. J'ai laissé tomber l'art dramatique et les cours et je me suis redirigé dans un domaine professionnel où je pouvais chercher tout de suite du boulot, j'avais envie de gagner ma vie et foutre le camp. C'est comme ça que je suis devenu coiffeur.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir choisi de continuer dans le chemin qui était le mien, je serais peut-être très connu et vivrait sur Paris, car c'était mon but. Mais bon, la vie continue et on s'adapte.
End.
Without love maybe nothing is real ?