Honte à ceux qui n'ont jamais regardé ce chef d'oeuvre et mort à ceux qui n'en n'ont jamais entendu parler.
Je viens de terminer la série une deuxième fois. Cela m'a apporté une deuxième lecture, un oeil plus aiguisé face aux détails que disséminent minutieusement le réalisateur ainsi que les scénaristes. C'est simple, la série est remplie d'easters eggs.
On s'attache à Walter White, ce prof de chimie en pleine crise de la cinquantaine qui découvre le jour de ses 50 qu'il est atteint d'un cancer des poumons en phase 3 (en somme une phase assez critique) Au début, sa démarche est appréciable même remarquable puis au fur et à mesure de l'avancée de la série, il devient vide de sentiments, cupide, orgueilleux et j'en passe... il incarne désormais l'anti-héros parfait.
Il y a tant de choses à souligner mais je ne le ferai pas car ça me demanderait un temps monstre mais à mes yeux, c'est la meilleure série qu'il soit.
Dites-moi que vous l'avez déjà vue ?
Je viens de terminer la série une deuxième fois. Cela m'a apporté une deuxième lecture, un oeil plus aiguisé face aux détails que disséminent minutieusement le réalisateur ainsi que les scénaristes. C'est simple, la série est remplie d'easters eggs.
On s'attache à Walter White, ce prof de chimie en pleine crise de la cinquantaine qui découvre le jour de ses 50 qu'il est atteint d'un cancer des poumons en phase 3 (en somme une phase assez critique) Au début, sa démarche est appréciable même remarquable puis au fur et à mesure de l'avancée de la série, il devient vide de sentiments, cupide, orgueilleux et j'en passe... il incarne désormais l'anti-héros parfait.
Il y a tant de choses à souligner mais je ne le ferai pas car ça me demanderait un temps monstre mais à mes yeux, c'est la meilleure série qu'il soit.
Dites-moi que vous l'avez déjà vue ?
"D'un crime à l'autre je mange, je bois et je vis"